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Sombre Rivière

  • Mélanie DUQUESNE
  • 6 déc. 2017
  • 1 min de lecture

"C’est un chant du monde, un blues sombre et lumineux. La poésie urbaine, métissée et fulgurante de Lazare est de retour au Grand T. Neuf acteurs-danseurs-chanteurs – parmi eux deux membres de La Rue Ketanou – nous embarquent dans un cabaret jazz-folk qui revient sur les attentats de Paris. Une invitation à la réconciliation.

C’est un enfant, ému par les attentats de novembre 2015 à Paris et par le morcellement de sa société. Prenant pour point de départ deux conversations qui ont fait suite au drame, l’une avec sa mère, algérienne analphabète de banlieue, et l’autre avec Claude Régy, grand poète et metteur en scène de théâtre, Lazare écrit son désarroi, son espérance. Pour créer, avec le chant et la joie, une œuvre qui relierait les éloignés. Sur scène, ses interprètes – complices depuis dix ans et nouveaux venus – disent, chantent, dansent un réel entremêlé au rêve. Dans cette rivière du temps et des histoires où l’on perd pied, nos imaginaires s’écoulent. Et ça déborde de mots, de musiques, de vie. Accueilli depuis 2012 par Le Grand T, Lazare revient avec un intense chant d’amour. Entendez-le."

Pendant deux heures on est entraîné dans cette frénétique histoire qui évoque des sujets forts et prenants. Bien que les acteurs étaient d'une justesse dans l’interprétation j'ai tout de fois eu des difficultés a suivre le file conducteur de part cette profusion de chanson. Malgré tout la pièce est marquante que l'on aime ou non.


 
 
 

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